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Cameron Drammers

« 28/30 ans  --  Vampire »

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Sexe : Homme

Date/lieu de naissance : né le 22/11/1984 à Mason City, Iowa

Nationalité : Américain

Age : 28 ans en apparence - 30 ans réellement

Face Claim : * Ian Somerhalder *

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Physique

* Ce qui a toujours été remarqué en premier chez moi, ce sont mes yeux. Des yeux d'un bleu perçant qui vous sondent et vous transpercent, avides de repérer et retenir les moindres détails, cherchant constamment une cible... Du moins avant que... je me "transforme". Enfin, mis à part ce regard moins expressif, le reste de mon physique n'a bien entendu pas changé suite à cet événement. Mes cheveux sont toujours brun foncé et quelques peu désordonnés, je n'ai jamais pris le temps de les mettre en place et cela ne me va pas si mal apparemment, alors pourquoi changer ? J'ai gardé mon mètre soixante-dix-neuf et ma carrure plutôt athlétique. Ayant été un "chasseur" durant ma vie humaine, je prenais particulièrement soin de mon corps pour rester en forme (Dire que je n'en ai même plus besoin maintenant...). Enfin, pour ce qu'il en est de mes habitudes vestimentaires, je dirais que je n'ai pas vraiment le choix étant donné le milieu dans lequel je suis obligé de vivre actuellement. Je m'habille généralement de chemises, mais sans cravate, il ne faut pas exagérer non plus ! Je porte donc des tenues assez habillées pour "plaire", mais à la fois suffisamment  décontractées pour me convenir. Ce qui se traduit le plus souvent par une chemise seule, surmontée d'une veste en cuir -que j'affectionne tout particulièrement et dont je prends soin comme de la prunelle de mes yeux !- ou d'une veste plus habillée si cela s'avère réellement nécessaire, accompagnée d'un pantalon de ville ou d'un élégant jean noir, le tout agrémenté de chaussures de ville impeccables. Mais attention, que l'on ne se méprenne pas : je ne suis pas vraiment un habitué de ce genre de tenues, un peu trop pédantes à mon goût, oh non. J'avais plutôt pour habitude d'enfiler un t-shirt, ma veste, une paire de tennis et un vieux jeans, cela me suffisait amplement. Seulement, désormais, il n'y a que dans mon immense appartement que je peux encore me vêtir -et me dévêtir d'ailleurs...- comme bon me semble.  Une seule chose n'a pas changé : je garde toujours mes couteaux de lancer sur moi, dissimulés sous ma veste ou à ma cheville, et ce malgré mes nouvelles capacités de vampire. *

Caractère

* Humain, j'étais insupportable. Provoquant, dragueur, arrogant, bagarreur. Je regroupais toutes les compétences pour mettre à rude épreuve les nerfs de n'importe qui avait le malheur de croiser ma route et attirer mon attention. Je trouvais n'importe quel moyen pour m'occuper, l'ennui étant mon pire ennemi. Alors lorsque je ne traquais pas, j'errais entre les cafés, les bars et les boites. Je repérais une fille à mon goût et tentais de la séduire par tous les moyens jusqu'à ce qu'elle accepte ...ou qu'elle appelle la sécurité. Si quelqu'un avait le culot de dire ou faire quelque chose qui ne me plaisait pas, mon sang ne faisait qu'un tour et j'utilisais mes poings pour le lui faire savoir... "Le sexe ou la baston", c'était à peu de choses près mon quotidien.

Désormais, c'est tout l'inverse. Je reste seul le plus possible et ne sors que lorsque j'y suis obligé. Je préfère la solitude de mon immense appartement, à l'étouffement que me procure cette masse humaine -ou non-, hypocrite et fausse. Alors je ne sors que pour remplir les 'missions' que mon mentor et patron me donne. Chasseur humain, il a tenu à ce que je le reste vampire, et je m'occupe donc de traquer et ramener entre ses mains les cibles qu'il me donne. A ceci près qu'il peut m'arriver de mettre une personne de notre race -donc un vampire- face à lui...
J'ai ainsi appris à feindre les émotions à la perfection et j'utilise ce nouveau talent à chacune de mes missions. S'il faut que j'attire une cible qui aime danser et sortir en boite, je serais capable de me déhancher au milieu de la piste et draguer comme n'importe qui. Si je dois m'occuper d'une cible plus méfiante, je serais capable de jouer la comédie pendant des mois afin de gagner sa confiance... Un robot, en somme. Je ferai tout ce qu'il faut pour accomplir ma mission, puisque c'est désormais la seule chose que je puisse faire. Mon travail.

Le reste du temps, je bois et bois encore. Allongé sur le grand canapé de mon salon. Je bois jusqu'à ressentir les effets de l'alcool. Foutu condition de vampire... Obligé d'utiliser des quantités colossales pour se bourrer la gueule...

Attention cependant à ne pas se méprendre : ce n'est pas parce que je n'ai plus aucun attrait pour quoi que ce soit que je ne réagirai pas si vous venez à me provoquer. Si vous n'êtes pas sur la liste de mes cibles, mieux vaut vous tenir éloigné, car je reste facilement irritable. Certaines habitudes sont tenaces... *

Histoire

* Je n'ai pas toujours été un vampire, loin de là même. Cela fait seulement deux ans que je me suis transformé en cette chose immonde. J'étais un chasseur avant et j'adorais ce que je faisais. Je me sentais utile et dans mon élément. J'étais fait pour ça, depuis tout petit.

Je suis né à Mason City et j'y ai grandi entouré de mes parents et de mon petit frère. Je me suis toujours montré énergique et quelque peu rebelle, alors autant dire que mes pauvres parents ont eu bien du mal avec moi lorsque j'ai atteint l'adolescence. Surtout que j'entraînais mon petit frère partout avec moi. Miles... Nous étions tellement proches. Toujours à faire les quatre cent coups et à fuir la police lorsque les voisins en avaient marre. Mais un soir de juillet a été la fois de trop.
Il faisait nuit noire et je voulais que Miles fasse le mur avec moi, histoire d'énerver nos parents. Alors que nous étions dans le jardin, sur le point de franchir le portail de derrière, la porte du perron s'ouvre et j'entends la voix forte de notre père nous rappeler sévèrement à l'ordre. Miles se stoppe net et se tourne, penaud, tandis que je le retiens en posant ma main sur son épaule. Je crie alors à l'attention de notre père que nous rentrerons certainement d'ici quelques heures quand nous le voudrons. Mais alors que je fixe son regard noir de colère, je vois son visage se décomposer et il se met à crier d'une voix paniquée, nous ordonnant de rentrer immédiatement à l'intérieur. Miles me regarde, comme pour me convaincre de l'écouter, et court en direction du perron. Au même moment, je vois notre mère, dans l'encadrement de la porte, se mettre à hurler. Notre père s'élance en direction de Miles alors que celui-ci a presque atteint la maison, mais une ombre me recouvre et je vois une énorme masse noire jaillir au-dessus de moi avant d'atterrir dans le jardin. S'élançant déjà à vive allure en direction de la maison, cette "chose" aussi agile qu'une panthère et aussi forte qu'un ours me laisse pétrifié, incapable de faire quoi que ce soit à part contempler impuissant le massacre qui se déroule sous mes yeux déjà emplis de larmes. Miles, propulsé par un puissant coup de patte de cette bête immonde, a violemment percuté le mur de la maison et gît désormais sur le sol du perron. Mon père, ayant sorti une lame de derrière son dos, se bat au sol avec cette chose et je vois ma mère munie d'un couteau de cuisine s'élancer en larmes en direction du combat. La bête hurle lorsque mon père l'atteint au flanc, puis lorsque ma mère lui assène un violent coup au niveau de l'épaule. Mais c'est désormais folle de rage que la bête se jette sur le cou de mon père alors que celui ci pousse un hurlement étouffé. Ma mère a tout juste le temps de planter une dernière fois sa lame dans le flanc de cette chose, lorsque celle-ci se redresse pour se jeter sur son cou. Miles n'a pas bougé, nos parents gisent désormais sur la pelouse du jardin, immobiles, et mes yeux embués par les larmes fixent cette bête monstrueuse en train de ramper péniblement en direction de la maison. Fou de rage, perdu et ignorant tout instinct de survie, je m'élance en direction de mes parents, ramasse le couteau de mon père et me jette sur la bête qui traîne au sol quelques mètres plus loin en poussant de puissants soupirs. Hurlant désespérément toute la rage dont mon cœur déborde à présent, je plante à plusieurs reprises mon couteau dans cette bête ignoble, rythmé par les cris d'agonie de celle-ci.

Depuis ce jour, j'ai grandi à Bloodbury, m'entraînant sans relâche jusqu'à devenir chasseur. Et lorsque, enfin, j'ai pu servir le Gouvernement en chassant toutes ces ignobles créatures, j'ai soigné un peu plus à chaque traque le chagrin qui me consumait depuis l'extermination de ma famille.


Mais après plusieurs années de chasse, j'ai fait une erreur. Celle de vouloir m'accorder une petite 'pause' grâce à la capture d'une proie spécialement réclamée par les Puissants. Ce soir de septembre où je suis entré sans réfléchir dans ce hangar abandonné, suivant cette proie que je voulais. Et il m'a bien piégé. J'ai réalisé trop tard que je m'étais fait avoir comme un bleu et qu'à ce moment c'était moi la proie...
Je me rappelle encore chaque coup de poing frappant mon corps, chaque lame entaillant ma peau et chaque parole crachée à mon visage avec une haine perceptible. Une haine contre ce que je représentais, ce que j'osais prôner et défendre...
Et finalement, voyant que j'étais sur le point de succomber à tout ce qu'il me faisait subir, il s'est penché vers moi pour me murmurer à l'oreille que je valais mieux que tout cela et qu'il allait m'offrir une seconde chance. Il s'est alors entaillé profondément la main pour faire couler son sang entre mes lèvres entrouvertes. J'étais bien trop épuisé et amoché pour pouvoir tenter quoi que ce soit à cet instant. Son sang a coulé dans ma gorge, me laissant cet ignoble goût métallique, puis j'ai étouffé un cri en sentant ses dents se planter dans mon cou. Je n'ai aucune idée de combien de temps a duré la morsure, mais je me rappelle de chaque image et chaque son que celle-ci a infligés à mon esprit.
Le principal inconvénient de ces visions infligées lors de la transformation, c'est qu'elles sont bien trop saisissantes de réalisme. Je ressentais les sensations du protagoniste à chaque souvenir. C'était comme si les coups m'étaient personnellement infligés, que les paroles m'étaient adressées, tout en restant pourtant un simple spectateur de ces scènes. J'ai donc malgré moi vécu la mort de ce vampire aussi fort que si j'avais assisté, impuissant, à la mienne.

Le décor ressemblait à un laboratoire et le vampire était enchaîné au milieu de la pièce. Son corps, recouvert d'entailles plus ou moins profondes, peinait à cicatriser et la souffrance se lisait sur son visage. C'était comme si l'intégralité de mon corps brûlait en continu pour tenter de cautériser toutes ces plaies. Le vampire se retenait de hurler et lâchait seulement quelques puissantes expirations, tout cela sous les yeux de quatre scientifiques en blouses blanches. Ceux-ci restaient impassibles et poursuivaient ce qui semblait être leur "travail". Pendant que l'un continuait d'entailler la peau de ce vampire, un autre observait et prenait quelques notes sur son calepin. Les deux autres discutaient un peu plus loin.
Finalement, trois des scientifiques se reculèrent pour prendre note, alors que le quatrième préparait une seringue remplie de sang. Au moment où la seringue traversa la peau de ce vampire, son hurlement atroce me saisit alors que mon corps bouillonnait. Les nombreuses seringues qu'ils venaient de lui injecter contenaient certainement du sang vieux de plusieurs heures ou jours, et le vampire souffrait désormais le martyr. Je sentais mes veines bouillonner jusqu'à céder. La douleur était insupportable et le supplice ne prit fin que lorsque ce vampire, à bout de force, poussa finalement son dernier soupir. C'était tout bonnement inhumain.

Je me suis réveillé le lendemain, en pleine après-midi, dans un grand lit et des draps propres. Il était là, près de la fenêtre, me fixant sans un mot, et j'ai compris que j'avais assisté à la torture et l'élimination de son propre créateur. Sauvagement assassiné par ceux que je considérais comme les miens... J'étais fou de rage, mais anéanti. Complètement perdu maintenant que tout ce en quoi je croyais se révélait être un énorme mensonge, tout aussi grand que celui décrivant ces fameuses races comme "impures"... Finalement, qu'avaient-ils de moins 'humain' que nous ?


Malgré toutes ces atrocités qu'il m'a fait subir, je ne peux réellement détester mon "créateur". Après tout, comment pourrais-je haïr celui qui m'a ouvert les yeux ? Evidemment, il a utilisé la pire méthode qui soit,  mais y avait-il réellement un autre moyen ? Je n'en suis pas certain...
Non, s'il y a quelqu'un que je déteste plus que tout, c'est bien moi. Pour avoir été aussi crédule. Manipulé et manipulable à ce point... Tellement naïf et, au final, ridicule...
Alors bien sûr que je lui en ai voulu, disons les six premiers mois, mais il a bien fallu que je me rende à l'évidence : il m'avait sorti du gigantesque mensonge qu'était ma vie.


Depuis ce jour, je mène donc une double vie. J'ai continué de travailler comme chasseur pour les Puissants, sans que ceux-ci apprennent quoi que ce soit sur cette nuit là, mais uniquement parce que mon désormais créateur et mentor, Alexander, m'en a convaincu. Il est vrai que je ne pouvais décemment pas disparaître tout en restant en ville. J'aurais fini par être traqué et tué... ou pire. C'est pourquoi j'ai suivi ses conseils et je me retrouve donc à traquer et infiltrer les Puissants pour le compte de la résistance qu'il dirige. *

Avis sur les races :

* Lorsque j'étais chasseur, je détestais chaque race "impure" aussi fort que n'importe quel Puissant pouvait les détester. Je chassais chaque démon, chaque vampire et chaque animorphe jusque chez eux, si je parvenais à les trouver. Hors de question d'avoir des remords ou de la compassion pour ces races ignobles. Ils n'en avaient pas eu pour ma famille et pour tout ceux dont on voyait les visages aux Informations.

Désormais, tout est bien différent. Lorsque je sors, je m'occupe à observer chaque personne que je vois et à déterminer sa race, si j'y parviens. Ensuite je les regarde bouger, je les écoute parler... et je ne distingue aucune différences entre les humains et toutes les autres races. Chaque personne, par ses actes, détermine ce qui la constituera à ses yeux et à ceux de chacun d'entre nous. Certains hommes sont mauvais, d'autres sont bons. Et après tout, chacune des autres races descend de ceux-ci... Pourquoi les traiter différemment alors que nous-même ne faisons pas mieux ?

Je dissimule ma nature de vampire aux yeux de ceux qui ne doivent pas la connaître, mais je ne me cache pas aux autres. Ils décideront de par leur réaction -en me dénonçant ou non-, la vie ou la mort.
Chacun devrait être libre de choisir ses ennemis. Si cela était possible, je choisirais de ne pas en avoir... *

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Pseudo : Apophis, Apo, Cam, Mermé, Tarée... bref :3

Sexe : Féminin. Evidemment.. bah ouais les femmes au pouvoir hein ! 8D

Date de naissance : née le 10/02/1993

Disponibilités jours/semaine : x/7 encore inconnu pour le moment ^^'

Un avis sur le forum ? : Il est à moi alors chut ! Le premier qui dit un truc a qu'à faire mieux ! x'D

Code du règlement : C'est moi qui l'ai mis en place :3 donc validé d'avance mouahahah ! 8D  Bloodyboulga quand même tiens ! na ! hey hey

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